Armoiries de Strasbourg |
Armoiries de Vendenheim |
Un extrait du journal intime d’Edvard Munch nous permet d’en apprendre davantage. Le 22 janvier 1892, il écrit ces quelques lignes :
« Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait — tout d’un coup le ciel devint rouge sang. Je m’arrêtai, fatigué, et m’appuyai sur une clôture — il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir de la ville — mes amis continuèrent, et j’y restai, tremblant d’anxiété — je sentais un cri infini qui passait à travers l’univers et qui déchirait la nature ».
Eh oui !
Contrairement à l’idée reçue, le cri ne vient pas du personnage mais de la nature.
Le personnage apparaît effrayé et se couvre les oreilles pour estomper un cri assourdissant.
Sources : https://culturezvous.com/le-cri-edvard-munch-analyse-chef-oeuvre/
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Consignes :
Contraintes :
Technique imposée : feutre fin (ou stylo à bille) noir.
Durée : 3 séances.
Techniques possibles : encrage, découpage, collage, graphisme, écriture, etc.
Durée : 2-3 séances.
Sujet : La
perspective, c’est donner l’illusion de profondeur sur une
surface plane.
Représente le coin de rue d'une ville en utilisant uniquement la perspective conique oblique à deux points de fuite.
Place la ligne d’horizon sur laquelle se trouvent les deux points de fuite.
Toutes les verticales restent verticales.
Les verticales sont parallèles entres elles et perpendiculaires à la ligne d’horizon.
Toutes les horizontales convergent vers les points de fuite.
Contraintes :
Introduis un escalier dans ta composition (selon la démonstration au tableau).